Pour le meilleur et pour le dire
- David Basant et Mélanie Reumaux
- David Basant
- Caroline Brésard, Roger Contebardo ou Julien Joerger, Edouard Giard, Céline Perra, Cécile Camp
la pièce
Après « Court sucré ou long sans sucre », « 1, 2, 3 Sardines » et « Merci pour tout !» qui ont attiré plus de 400 000 spectateurs, David Basant co-écrit avec Mélanie Reumaux une comédie psychologique et sentimentale.
Quand une hypersensible, qui n’ose pas assumer ses intuitions tombe amoureuse d’un homme merveilleusement vulnérable qui se réfugie dans le non-dit, le malentendu peut les mener à la séparation sauf si l’entourage s’en mêle.
À moins que l’émotion et le rire ne permettent de trouver le chemin de la parole et de l’amour.
« Formidable et très original. Un comique de situation et une vraie profondeur du discours. »
– François-Xavier Demaison
LA presse
« Le spectacle regorge de qualités. Pour commencer, il est très bien joué par Céline Perra, Roger Contebardo, Tessa Volkine, Caroline Brésard et Édouard Giard. Alain Lagarde a conçu un décor élégant et astucieux. Et les dialogues sont pétillants. »
− Jacques Nerson, L’Obs
« Une comédie qui dit des choses simples et justes.»
− Fabienne Pascaud, Télérama
«Pièce enlevée. Le rire et l’émotion l’emportent. L’amitié triomphe.»
– Armelle Héliot, Le Figaro
« Pour le meilleur et pour le dire reste une comédie, légère, mais pas tant que ça, avec les ressorts du genre comique, mais qui sait dire aussi, que dans la vraie vie, il peut suffire de dire les bons mots au bon moment et à la bonne personne pour voir le soleil revenir. »
– Gérald Rossi, L’Humanité
« Le personnage central de la pièce composée par David Basant et Mélanie Reumaux est une psy très volubile, obsédée de jeux de mots, plus grandes sœur avec ses patients et son fils que praticiens instaurant une distance… Même si un moment elle se pose une question de déontologie ! L’essentiel de l’action se passe dans son cabinet. La détresse coule à flots, mais elle qui écoute et cherche les associations, possède tant de vitalité que rien ne paraît dramatique aux spectateurs qui rient beaucoup des bons mots qui fusent. »
− Armelle Héliot, Figaroscope
«Un vaudeville psychanalytique. Irrésistible.»
− Version femina
« Balisé par les codes de la comédie romantique et ses péripéties prévisibles, ce spectacle pétillant vaut le détour pour le jeu de ses cinq comédiens, leur alchimie et leur charme. La cocasserie des situations (Feydeau) est sublimée par les jeux de mots et les traits d’esprit (Woody Allen). Certains dialogues, c’est perceptible, ont été écrits au cours d’improvisations, assurant une spontanéité séduisante. L’affaire dure une petite heure vingt et défile à vive allure… Ce moment de théâtre se vit avec plaisir. C’est l’essentiel. »
– Igor Hansen-Love, L’Express
« La comédie plaisante invite à réfléchir à ce qui entrave la liberté, non pas pour cultiver l’individualisme, mais pour laisser l’amour prendre sa place. Grâce à la parole qui démêle et libère, un optimisme fondamental et joyeux combat ici les épreuves de la vie. »
– Agnès Santi, La Terrasse
« David Basant et Mélanie Reumaux ont écrit ce très joli et très pertinent moment théâtral.Il est évident que la chose psychanalytique leur tient à cœur. Sous le couvert du rire (oui, nous rirons beaucoup), ces deux-là nous démontrent lumineusement le rôle du verbe dans les relations d’un couple, certes, mais également dans la société plus généralement. On rit beaucoup, disé-je. Un rire sain, sincère et salvateur.Beaucoup de traits d’esprits viennent émailler la pièce. Je vous laisse découvrir… (La transgression totale dans un cabinet de psychanalyse est un moment jubilatoire!)… Je ne saurais donc trop vous conseiller que d’aller voir cette pièce tendre, drôle, sensible et d’une grande finesse. Une pièce qui en a pas douter comptera parmi les vrais succès de cette rentrée théâtrale. On reste là-d’ssus ? »
– Yves Poey, De la Cour au Jardin
« À mi-chemin entre Pinter et Feydau, la pièce est une comédie juste et tendre servie par des acteurs épatants, un bon moment de théâtre pour attaquer la rentrée. »
– Artishow
« Les comédies où la caricature est bannie, où le rire est parfois proche des larmes, ne courent pas les rues. Celle-ci en est une. »
– Micheline Rousselet SNES
NOTE D’INTENTION
Tahar Ben Jelloun dit : « une vraie rencontre… c’est quelque chose qui ressemble au destin » L’intention de cette pièce est elle-même née d’une rencontre.
D’abord entre les 2 auteurs. Elle, psychologue et coach. Lui, auteur de théâtre et coach en communication. Et une conviction commune : prendre la parole , c’est prendre sa place. Dès lors, est née l’envie d’écrire sur le non-dit et sur la difficulté de communiquer surtout quand l’émotion est à fleur de peau.
La rencontre s’est ensuite faite avec des comédiens choisis pour leur capacité à transmettre l’émotion. Autour d’eux, l’écriture a démarré par un travail en résidence au Théâtre du Blanc Mesnil. Le principe retenu a été celui d’une écriture « au plateau » à travers des improvisations qui partent du script des scènes écrites par les auteurs.
La direction d’acteur cherche à mettre en valeur la musicalité des mots et des silences par l’intensité des émotions qui se trament entre les personnages. C’est en cherchant la vérité de chaque protagoniste et la justesse du rythme que naissent le rire et l’émotion, présents dans cette comédie psychologique et sentimentale.
La mise en scène met la parole au centre pour nous permettre de mieux comprendre que la capacité d’aimer commence par l’amour de soi.
Et le théâtre a cette capacité d’incarner, de faire rire ou de ramener au sensible tout en ouvrant vers le questionnement et l’identification.
LES AUTEURS
David Basant – Auteur et metteur en scène
Il a choisi un jour de ne pas choisir entre les acteurs du théâtre et ceux de l’entreprise. En 1982, David Basant s’inscrit au Conservatoire d’Art Dramatique de Rouen puis au Cours Simon. En 1992, il écrit et crée sa première pièce « Tu es gentil, tu laisses Marie-Madeleine en dehors de tout ça » au Théâtre Rive Gauche puis « Success Story » mis en scène par Jacques Decombe et « Court sucré ou long sans sucre… » (300 000 spectateurs au Café de la Gare de 1999 à 2002, reprise en 2014 à la Comédie Bastille). De 2005 à 2007, il écrit et joue « 1, 2, 3 Sardines » mise en scène par Jean-Luc Moreau (120 000 spectateurs) au Théâtre Fontaine puis à La Grande Comédie et au Théâtre des Nouveautés. Puis de 2010 à 2012, il écrit et met en scène « Merci pour tout ! ». La pièce restera à l’affiche au Café de la Gare puis à La Grande Comédie et à La Comédie Bastille…
« Pour le meilleur et pour le dire » créée en 2018, est dédiée à Elsa Cayat, la psy de Charlie Hebdo, victime de l’attentat de Janvier 2015 et qui se trouvait être la psychanalyste de David Basant. La pièce lui rend hommage à travers le personnage de Mona, qui en est librement inspiré. Elle qui disait « La psychanalyse entérine la possibilité d’être soi, seul accès possible à l’amour ».
La prochaine pièce « le Goût des étoiles » de David Basant co-écrite avec Elie Chouraqui est en cours de montage.
Mélanie Reumaux – Auteure
Mélanie suit une formation professionnelle en théâtre (Studio 34, Ateliers de l’Ouest) et en chant lyrique (Conservatoires de Toulouse et Paris). Elle débute sur scène avec Claude Régy à l’Opéra Bastille (Jeanne d’Arc au Bûcher) puis joue avec Julien Boisselier, Yvan Le Bolloch ou Bérénice Bejo aux côtés de Steve Kalfa.
Elle participe à divers récitals lyriques, puis dans le registre de la variété, elle chante au théâtre des Abbesses dans le spectacle de Jean-Claude Vannier. Coach et Psychologue clinicienne, elle travaille sur les émotions et se passionne pour les différents modes de communication. Depuis 12 ans, elle dirige le pôle coaching de DB&A et intervient auprès de nombreux cadres dirigeants.
Convaincue que prendre la parole c’est prendre sa place, elle aime faire de l’écho au non-dit pour qu’il puisse s’exprimer.
Dans l’écriture de « Pour le meilleur et pour le dire » elle apporte toute sa sensibilité, sa finesse psychologique et son goût pour les histoires de la vie. Elle crée en 2018 « The Glint », premier club de « storytelling live » en France parce qu’elle est convaincue que nos histoires vraies nous connectent et nous relient.
les acteurs
Caroline Brésard
Depuis 15 ans, Caroline Brésard se frotte à la comédie sous toutes ses formes. D’abord au sein de la bande « Les 4 » où ils écrivent, mettent en scène et jouent leur univers décalé (Spectacle au Café de la gare, sketchs quotidiens dans « La Grosse Emission » sur Comédie, programme hebdo sur Oui.fm). Puis en tant que chroniqueuse auprès de Catherine Ceylac (« Thé ou Café » sur France 2).
Elle collabore aussi à plusieurs projets de Kad et Olivier en tant qu’actrice (« Making off » série sur Canal+) ou comme auteur/réalisateur (« Bertrand.çacom, programmes courts sur Canal+). Elle vend un pitch à Alain Chabat : une idée originale des 4 qu’ils développent ensemble pour les Etats Unis (« 1000 mots » avec Eddie Murphy chez Dreamworks) et intervient ponctuellement comme Script Doctor sur des long métrages en développement.
Elle réalise parallèlement plusieurs court-métrages (« Flugma » vendu à France 3) et est actuellement en écriture d’un long métrage qu’elle souhaite réaliser. En tant qu’actrice, on peut la voir à la télévision ou au cinéma (« Scènes de ménages » sur M6, « 100% cachemire de Valérie Lemercier et Chroniqueuse sur Canal Sat.)
Roger Contebardo
Roger Contebardo commence sa carrière d’acteur sous la direction de Jean-Claude Parent dans « Le Traitement » de Martin Crimp. Il est ensuite dirigé par Frédéric El Kaïm, Bruno Banon, Jean-Claude Caron ou encore Anouche Setbon et expérimente de nombreux registres : Tchékhov, Claudel, Havel, Jaoui/Bacri… Il rencontre en 2010 Robert Castle et Alejandra Orozco et se forme à la « méthode » inspirée de Lee Strasberg. De cette rencontre naîtra une vraie passion pour le théâtre contemporain anglo-saxon.
A l’écran, on a pu le voir dans « Né sous silence » aux côtés d’Odile Vuillemin, « Clem » avec Victoria Abril ou encore « Je préfère Belinda » avec Line Renaud. Au cinéma, Il apparaît dans de nombreux courts et long-métrages, dont « Like Totally Hot Couple Seeking Same » réalisé par Kirsten Russel et « Nos 18 ans » de Frédéric Berthe, avec Michel Blanc et Pierre Niney.
Edouard Giard
Édouard Giard s’est fait connaître, tout d’abord, à la télévision grâce à son rôle de Vince dans la série « Heidi », puis au cinéma dans le film biographique de Claude François, « Cloclo ».
A l’âge de six ans, ébloui par la prestation de Jack Nicholson dans Batman de Tim Burton, il aura une révélation et ne cessera de parler à ses parents de son désir de devenir acteur. A quinze ans, Édouard intègre une compagnie théâtrale, les Enfants du Paradis. Il en fait partie pendant quatre ans puis se rend à Paris, où il s’inscrit au Cours Florent.
Il connaît de nombreux seconds rôles importants dans divers séries et films télévisés endossant tour à tour le costume d’un jeune étudiant dans le téléfilm « Les Associés », un tueur anti-sémite dans « Avocats et associéS », un jeune au tempérament bagarreur fils d’un riche homme d’affaires dans la série « Le Repaire de la Vouivre » …
Édouard tourne aussi de nombreux longs-métrages avec de beaux succès tels que « CloClo », « Alaska », « Tout, tout de suite »… Aux côtés d’acteurs français de grandes renommées tels que Christophe Lambert, François Berléand, Benoît Magimel, Jérémie Renier, Roschdy Zem ou Richard Berry.
Julien Joerger
En alternance jusqu’au 2 janvier , puis du du 17 janvier au 3 février inclus
Il débute le théâtre à l’âge de 14 ans près d’Agen (47) au sein de l’atelier Jean Pierre Plazas. Cinq ans après il crée sa compagnie : »le Théâtre à Contre-Jour ».
En 2003, fort de ses expériences et rencontres, il s’inscrit dans la formation professionnelle du « Théâtre en Miettes », dirigée par Jean-Claude Parent, à Bordeaux.
Il joue dans « Un air de famille », pièce d’Agnès Jaoui et de Jean-Pierre Bacri au festival off d’Avignon 2007, ainsi qu’une pièce écrite autour de Molière, « Comme dans un rêve de Molière » puis joue le rôle de Gus dans « Le Monte-Plats » de Harold Pinter.
Il participe notamment à la création de « La Mort en Sus » de Mathieu Protin au Ciné 13 à Paris et à la création de la pièce « Mortis Mercator » d’Axel Lattuada. Il est l’un des rôles principaux de la web-série Mortus Corporatus saison 1 diffusée sur MyTF1.
Il tourne dans deux court-métrages, dans une docu-fiction de France 2 « Un jour, une histoire » ainsi que dans « Poètes » et dans « Et tout le monde s’en fout » des séries digitales.
Céline Perra
Depuis qu’elle y a goûté à l’âge de 17 ans elle n’est pas prête de s’arrêter à explorer les passionnants chemins de l’actrice. Sur les planches, elle se prête à tous les registres : café théâtre, drame social, oratorio, et théâtre en entreprise… Sur scène et à l’écran au côté de Marthe Keller, Marie-Anne Chazel ou Jean-Hugues Anglade, elle développe son goût pour le cinéma.
Sa carrière se développe dans des productions internationales, avec « Like totally hot couple seeking same » de Kirsten Russel tourné à New-York, « Danny and the Deep Blue Sea » en coproduction avec It-New-York, et enfin sa première mise en scène franco-belge « Ocean Liberty ».
Elle était à l’affiche de « Chinchilla » et « Ma colocataire est une garce » en 2017.
Tessa Volkine
Au théâtre, elle a joué en tournée dans la dernière création « Les Productions du Sillon », la pièce « 1300 grammes » écrite par Léonore Confino et mise en scène par Catherine Schaub et rejouera ce spectacle en février 2019 au Théâtre 13 Seine.
Elle a été dirigée par Michel Cochet dans « L’Anniversaire », par Olivier Charneux dans « Les vieux os », par Luc Gentil dans « Science frictions », par M-Do Fréval dans « Jean-Jacques » de Nadège Prugnard, par Catherine Schaub dans « Je veux voir Mioussov » et « La mémoire d’un autre » et récemment dans « La nostalgie de l’avenir» par Myriam Saduis, qu’elle a joué à Bruxelles, Avignon et en tournée entre la Belgique et la France.
En 2012-2013, elle conçoit et met en scène un premier spectacle musical « Tranches de quartiers ». En 2013,-2014, c’est pour le département des Yvelines qu’elle conçoit un spectacle sur la famille, écrit par Léonore Confino : « Le bruit de la machine à laver », elle renouvellera l’expérience en 2014-2015 avec un spectacle sur le langage « Des chats dans la gorge » et de nouveau en 2016 avec le spectacle « Bianca, les règles du jeu ».
Depuis le 7 septembre 2014, elle est Co-Présidente de L’AAFA , Actrices et Acteurs de France Associés.
A la télévision et au cinéma elle a tourné dans plus de 30 films et téléfilms et fait plusieurs apparitions dans « Scènes de Ménages ».
Cécile Camp
Qui interprétera dès le 31 janvier le rôle de Mona
Comédienne : À la sortie de l’ENSATT-Ecole Normale Supérieur des Arts et Techniques du Théâtre, elle joue dans des mises en scène de Marcel Bozonnet, Olivier Py, Alain Ollivier, Marc Paquien, Jacques Vincey, Jean Lacornerie…
Au cinéma, elle travaille avec Jean-Luc Godard dans « Eloge de l’amour », Stéphane Giusti, Jean-Pierre Mocky, Nicole Garcia…
Elle est l’interprète de plusieurs séries et téléfilms (Engrenages, Profilage, Boulevard du palais…) réalisés par Jean-Marc Vervoort, Vincent Jamain, Klaus Biedermann, Manuel Boursinhac. ..
Elle a mis en scène « Lauréline Kuntz et le questionnaire fou ».
équipe technique
Assistante mise en scène : Clara Leduc
Scénographe : Alain Lagarde
Éclairagiste : Pierre Peyronnet