Chute d’une Nation
La piece
Jean Vampel est un député intègre et travailleur mais anonyme et peu ambitieux. Poussé par ses proches qui lui rêvent un destin, il profite d’un concours de circonstances pour participer aux primaires de « l’Union de gauche ». Il sait qu’il ne gagnera pas, mais veut se servir de la campagne pour « exister » un peu plus.
Six mois plus tard, la France ouvrira la page la plus sombre de son histoire…
La pressE
QUOTIDIENS NATIONAUX
«Addictif, audacieux, réjouissant et étonnant. Chute d’une Nation réussit un subtil dosage entre réalité documentaire et pure fiction. La réussite de cette tétralogie: ausculter cet étonnant carburant qu’on appelle l’ambition politique. Une créature hybride et excitante.»
«Un spectacle étonnant qui fait pas mal de bruit grâce au bouche à oreille. En matière de théâtre c’est tout à fait nouveau et très excitant. Il est recommandé d’aller faire un tour la Manufacture des Abbesses où le don assez sidérant de Reuzeau pour les dialogues fait mouche et où les comédiens n’hésitent pas à appuyer sur la pédale. C’est la règle d’une campagne.»
«Un feuilleton haletant. Une intelligence aigüe dénué de manichéisme»
«Dans les méandres d’une campagne électorale… Avec une écriture efficace, l’auteur dépeint le combat intérieur entre éthique personnelle et une conscience politique. Il montre les compromissions, les affrontements, les coups bas ainsi que les liens troubles entre politiques et journalistes. Sans jamais tomber dans la caricature, Reuzeau a créé des personnages finalement humains et sincères. Saisissant de vérité.»
«La pièce, énergique et tonique, décrit avec justesse, drôlerie, pugnacité, les périlleux positionnement de circonstances, les alliance à géométrie variable, l’errance des ambitions incertaines. Une pièce bienvenue et utile. Pour les citoyens et les élus. A voir de toute urgence. Avant d’aller voter en toute conscience.»
TV / RADIO
«Un carton depuis plusieurs mois. Digne des plus grandes séries américaines, Chute d’une Nation dépoussière le 6ème art. Le scénario fait froid dans le dos, la série peut rendre très vite accro.»
La Matinale : «Un projet audacieux. Une vraie pièce politique qui nous renseigne sur l’envers du décor. Dans l’actualité chaude bouillante. » Studio Théâtre / Laure Adler : «Impressionnant. Précipitez-vous» Le Masque et la Plume : «Terrifiant, très bien joué, très bien monté, un très très bon spectacle. Formidable !» Ouvert la nuit : «Très étonnant, intense, comme si on y était. Epatant.»
«Inclassable et passionnant. Cette œuvre vous tiendra en haleine autant qu’elle vous fera réfléchir »
«Bluffant. Un véritable suspens.»
«Une idée géniale. Un projet de malade, 12 acteurs sur le pied de guerre.»
«Audacieux, Incroyable. Un casting remarquable»
«Une pièce qui laisse tout le monde pantois, totalement fascinante. C’est extrêmement bien fait avec des dialogues qui fusent à toute allure. Un défi d’écriture incroyable. (…) Ce qui est incroyable c’est la manière dont vous articuler ce qui est de l’ordre du discours politique et ce qui est de l’ordre de l’individu réellement, il y a une plongée dans l’humanité de ces personnages, dans leur singularité, dans leur personnalité. (…) Il y a la grande Histoire qui broie les personnages et il y a les personnages, qui, aussi, la fabriquent. (…) On est littéralement captivé. Rarement au théâtre j’ai été à ce point prise autant dans le simple plaisir de la fiction qui nous tient haletant du début à la fin. Chute d’une Nation parvient à soutenir un rythme parfait, en jouant d’un suspens tendu et maîtrisé. On pense à l’excellent West Wing. La même densité, la même efficacité qui déroule un fil narratif parfaitement tendu, toujours unifié. (…) Une logique narrative implacable qui emporte tout. Qui emporte aussi l’adhésion de la salle. Parce qu’elle procure un intense plaisir d’autant qu’elle sert un propos éminemment jouissif, celui de la politique fiction. Un tableau épique et haut en couleur.»
HEBDO NEWS / CULTURE
«Enfin du nouveau. Reuzeau sonde les cœurs et les reins de ceux qui se jettent dans la mêlée. Le spectacle, servi par une troupe solide, est percutant, drôle, parfois angoissant. On a qu’une envie en sortant, savoir comment tout ça va tourner.»
En mars : «L’empreinte des bonnes séries américaines (…) l’écriture efficace touille dans la pâte politique de la France d’aujourd’hui : on y parle d’un parti de gauche, des primaires, des pressions, des égos, des médias (…) Les acteurs, tous justes, font des politiciens plus vrais que natures» En mai : «Plus vrai que vrai. Un impitoyable constat sur le piteux état de notre démocratie.»
«Enfin une vraie pièce politique subtile et intelligente ! Ce premier épisode d’un spectacle qui en comptera 4 met vraiment l’eau à la bouche…»
«Reuzeau confirme qu’il est un auteur sur lequel l’avenir peut compter. Une narration limpide et captivante. Dans une mise en scène sobre et claire, les comédiens, tous formidables, font vire avec une belle intelligence l’histoire entre drame et comédie de la vie. »
«Le tableau sans échappatoire est saisissant d’âpreté et de justesse. Les comédiens à la nervosité cinglante nous entraînent dans une véritable pétaudière où d’ingénieux soubresauts dramatiques lié à la souffrance d’un homme de bonne volonté font sans cesse rebondir un récit haletant. On en veut plus, et vite !»
«Une immersion prolongée dans les eaux troubles de la caste politique. Le public rigole, se passionne, s’esclaffe, et ça marche.»
«On rit beaucoup des manigances labyrinthiques, et cette hilarité est aussitôt suivie par un temps d’arrêt, de réflexion. Chacun part avec cette question, et avec des points de suspensions assez obsédants pour rendre immanquable le prochain épisode…»
«Une œuvre complexe, ouverte, kafkaïenne. Les questions laissées en suspens résonnent comme un appel à la vigilance»
«Une curiosité théâtrale, une habile saga. La quête d’identité et la soif du pouvoir incarnés en des personnages brut et des intrigues chocs»
SITE INTERNET D’INFO
«Face à l’absurdité, nos épidermes vibrent de la même façon. Chute d’une nation en est le témoignage grinçant. C’est le spectacle de la démocratie directe vue de l’intérieur du magma. Nous sommes des spectateurs privilégiés, tapis dans les coulisses du pouvoir. C’est horrible et délicieux. Comme la série 24 heures chrono, c’est diablement prenant. Allez vous recharger les batteries à la Manufacture des Abbesses pour moins cher qu’un antidépresseur. Et vous me direz pourquoi, vous aussi, vous avez adoré.»
«Un étonnant feuilleton théâtral. Ambitieux et brillant»
LES ACTEURS
Walter Hotton (joue Vampel) Episodes 1, 2, 3, 4
Walter se forme au Cours Florent avec Michèle Harfaut et Maurice Attias. Il travaille sous la direction de Thomas Le Douarec dans Dommage qu’elle soit une putain de Jonh Ford, de Madona Bouglione dans Antoine et Cléopâtre de William Shakespeare, et dans deux pièces de Yann Reuzeau La Secte et Monsieur le Président. Walter est un habitué de la Manufacture des Abbesses, il y a joué Fando et Lis, d’Arrabal, dans Le Chemin des Passes Dangereuses, de Bouchard, Femmes de Manhattan de Shanley…
Didier Mérigou (joue Weider) Episodes 1, 2, 3, 4
Formé à l’Ecole Florent et au Studio Pygmalion. Il joue avec Niels Arestrup et Judith Magre, Michel Serrault, Sandrine Kiberlain, Edouard Baer, Zabou Breitman… sous la direction de Jean-Luc Revol, Claude Miller, François Ozon, Denis Granier-Deferre, Philippe Monnier, Alphonse Boudard, Raymond Acquaviva, Gilles Gleizes ou encore Jean-Marc Seban, Etienne Chatiliez ou Marc Angelo…
Sophie Vonlanthen (joue Porémon) Episodes 1, 2, 3, 4
Formée à l’Institut Lee Strasberg de New York, elle a joué récemment dans Only Connect de Mitch Hooper au Vingtième Théâtre, C’est pas la fin du monde de Carlotta Clerici à la Manufacture des Abbesses, Sibylline de Noli, mise en scène Marianne Groves, Femmes de Manhattan de John Patrick Shanley, mise en scène Mitch Hooper. Elle a déjà joué dans 3 pièces de Yann Reuzeau : La Secte, Puissants & Miséreux et Mécanique instable. Elle est aussi la co-fondatrice et co-directrice de la Manufacture des Abbesses.
Leïla Moguez (joue Speranza) Episodes 1, 2, 3, 4
Elle intègre en 2002 l’école Acting International et travaille avec la Compagnie Prélude (Paroles de Femmes au Cyberact, Un dimanche de Tragédie d’après Ribes). En 2006, elle assiste Yann Reuzeau sur la pièce Les Débutantes et fait depuis partie intégrante de La Manufacture des Abbesses. Elle y met en scène et joue La Mise au Pas d’Alexandre Duclos puis joue Le Regard des autres de Christopher Shinn, mise en scène Gilbert Désveaux.
Yvan Lambert (joue Perquis) Episode 1
Elève de René Simon, il a travaillé avec, entre autres, André Roussin, Jean Marais, Jacques Dumesnil, Olivier Hussenot mais aussi Coluche, Muriel Robin, Bernard Da Costa, Yves Carlevaris, Charles Charras et André Gille dont il a joué la pièce Le Président plus de 1000 fois, Diane Delmont qui l’a mis en scène dans La Portrait de Dorian Gray d’Oscar Wilde qui lui valut le Baladin du meilleur comédien en 1997. Il a interprété dernièrement Woody Allen à la… Manufacture des Abbesses.
François Hatt ou Morgan Perez (joue Camara) Episode 1
François Hatt, après s’être formé au Cours Simon, joue dans différentes pièces, notamment Duo pour violon seul de Tom Kempinski, et Petit Boulot pour vieux Clown de Matéi Visniec, Il a joué également le rôle-titre de La Résistible ascension d’Arturo Ui, de Brecht avec la compagnie Umbral.
Morgan Perez est acteur et auteur. Il a travaillé sous la direction de Marianne Groves, Thomas Le Douarec, Julien Boisselier et Jean Pierre Garnier. Pour la télévision, il a, entre autres, joué et co-écrit une série humoristique « Allo Quiche » pour Canal Plus. Au cinéma, il était à l’affiche du film Les Adoptés qu’il a co-écrit avec Mélanie Laurent. Il a déjà joué dans deux autres pièces de Yann Reuzeau, Puissants & Miséreux et Mécanique Instable
Emmanuel de Sablet (joue Quieroz) Episodes 2, 3
Formé au Conservatoire National, il fait sa première mise en scène en 1981 : Il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée d’Alfred de Musset. Entre 1983 et 2000, il est professeur au Conservatoire de Lille, il crée Les Productions Baghera (cinéma) et Le Chant des cigales (théâtre). Il rejoue, depuis 2001, au théâtre pour Kazem Shahryari, Claude Crétient. Sa dernière mise en scène « Quartett » d’Heiner Müller, s’est jouée au Théâtre du Picolo. Avec Mécanique instable c’est la deuxième fois qu’il joue dans une pièce de Yann Reuzeau :
Manga Ndjomo (joue Baubrac) Episodes 2, 3
Corporaliser le personnage, tel est son credo forgé par l’enseignement de Jean Hérel. Elle a interprété Clémence, dans Raf Banni de Pierre Gope, adaptation de Hernani de Victor Hugo à l’histoire contemporaine de la Nouvelle-Calédonie dans une mise en scène de José Renault. Elle était également Mme Nigéria dans Thérapie Anti-Douleur, de Laura Forti. Elle est primée à Clermont-Ferrand pour Viande de ta mère.
Raphaël d’Olce (joue Debiewski) Episodes 2, 3 et 4
Formé à la comédie de St-Etienne et par ailleurs diplômé des Beaux-Arts et des Métiers d’Art, il a joué sous la direction de Daniel Benoin dans Maître Puntila et son valet Matti, Jean-Pierre Vincent dans Léo Burckart, Michel Abecassis dans L’Or de Cajamalca, Arnaud Beunaiche dans Inconnu à cette adresse, et au cinéma sous la direction de Costa-Gavras dans Le Couperet et de Laurent Herbier dans Mon Colonel.
Mitch Hooper (joue Johnson) Episodes 3 et 4
Essentiellement auteur et metteur en scène, Micth a vu son scénario, Le rêve dans le cœur gagner le prix des cents premières œuvres de France Télévision en 1992 et il est l’auteur de plusieurs scénarios dont La Femme du pêcheur avec Fanny Cottençon et Les âmes fortes avec Laetitia Casta. Au théâtre, il a écrit Only Connect, Chronique d’une année de crise, L’Amour existe. Il a mis en scène Femmes de Manhattan de Shanley, Trahisons de Pinter, dont il avait été l’assistant sur Ashes to ashes au Théâtre du Rond-Point.
Marc Brunet ou Pierre Deny (Joue Mérendien) Episode 4
Marc Brunet joue dans plus d’une trentaine de spectacles avec des metteurs en scène tels que Pierre Santini, Antonio Arena, Patrick Pelloquet… Il met en scène et interprète Nuit gravement au salut et Fenêtre sur Jungle d’Henri-Frédéric Blanc. Il participe à de nombreux films dirigés par Alain Corneau, Josiane Balasko, Tony Gatlif… En 2007, il interprète le rôle du Père dans Darling de Christine Carrière. En 2010, il tourne avec Jean-Pierre Bacri, Clovis Cornillac, Yvan Attal… En 2011, il adapte Les Lois de la gravité, le roman de Jean Teulé, qu’il joue à la Manufacture des Abbesses.
Apres avoir débuté en 1980 chez Roger Planchon au TNP de Villeurbanne dans Athalie de Racine et Don Juan de Molière, Pierre Deny a joué au théâtre des auteurs comme Goldoni, Marivaux, Brecht, Steinbeck, et plus récemment Enzo Corman, Serge Valetti, Laura Forti, Serge Kribus ou Spiro Simone… Depuis 25 ans, on le voit régulièrement sur les écrans, dans plus de 80 films et téléfilms sous la direction, entre autres, de Coline Serreau, Edouard Molinaro,
Lionel Nakache (joue Cédric Porémon) Episode 4
Lionel Nakache a joué, au théâtre, dans Roberto Zucco, mise en scène de Pauline Bureau à La Tempête, Les pas perdus de Denise Bonal, mise en scène de Gilles Guillot au Théâtre du Rond-Point… Au cinéma, Il tient le rôle principal de Real Movie, de Stéphane Robelin. En 2011, il tourne dans Cloclo réalisé par Florent-Emilio Siri, et Et si on vivait tous ensemble de Stéphane Robelin. Il a également tourné dans une quinzaine de courts métrages et téléfilms, et joue régulièrement dans La Vie secrète des jeunes pour Canal. Il a réalisé le court métrage Une Vie par cœur, primé dans plusieurs festivals.